TRAILER – Battlefield 1

TRAILER – Battlefield 1

TRAILER – Battlefield 1

TRAILER – Battlefield 1 Intéressant !

Ça explose de partout : le teaser du nouveau Battlefield, sobrement intitulé Battlefield 1, est disponible.

On en profite pour se faire un petit morceau de frise chronologique de la licence.

Aujourd’hui, c’est ça : 

Battlefield. Voilà un nom qui me rappelle des souvenirs bien vifs. Des souvenirs de champs de bataille ouverts où évoluer en équipe prend tout son sens. Qui plus est dans à une époque où les FPS faisaient rage.

Battlefield, ce sont des histoires de tanks dans le désert avec des avions qui se crashent lamentablement au sol quelques secondes après leur décollage dans les mains d’amateurs.

Avant c’était quoi ?

Battlefield, c’est beaucoup de choses. Mais c’est surtout une série qui a marqué l’histoire des jeux vidéo en mettant le joueur dans la peau d’un bidasse virtuel au sein de terrains gigantesques. Tout ça commence en 2002 avec Battlefield 1942, développé par DICE (acronyme de Digital Illusions Creative Entertainment, ça servira pour la culture générale) et édité par Electronic Arts. Le jeu était principalement axé sur le multi-joueurs avec la possibilité de faire combattre des équipes de 32 joueurs l’une contre l’autre, à l’époque de l’ADSL.

La série évolue par la suite en s’aventurant dans le futur avec Battlefield 2142 puis se recentre sur les guerres modernes avec Battlefield 3 puis Battlefield 4, proposant chacun une aventure solo plutôt anecdotique.

En somme, n’importe quel fan de FPS peut reconnaître que Battlefield est un bon jeu pour se « mettre sur la gueule » en ligne avec ses potes ou avec des inconnus.

La brique dans la mare

Actuellement, des FPS multi-joueurs, il y a de quoi faire. Le choix est vaste et on peut retenir 3 grands noms (plus si on creuse) : Battlefield, Call of Duty, et Medal of Honor. Si le dernier a rencontré un échec commercial, les deux premiers se tirent la bourre depuis quelques années.

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Et là, on trouvait ça beau…

Bien que chacun des titres propose des styles de jeux différents, Battlefield s’axe plus vers le jeu en équipe et le réalisme et Call of Duty vers le jeu arcade nerveux et solo, chacun essayant d’innover à sa manière. Dernièrement, la série Call of Duty a fait le choix de prendre une envolée thématique vers le futur et le fantastique, ce qui a forcément divisé les fans. Dans mon cas, je l’ai pris comme une bouffée d’air frais dans un genre qui n’a tendance qu’à traiter de la même chose : la guerre et l’actualité.

SAUF QUE chez DICE, ils ont compris l’importance de montrer à la concurrence qu’ils savent faire du neuf avec du vieux, voire mieux. Et c’est visiblement le ton donné par l’annonce de Battlefield 1. Oui, ils l’ont nommé comme ça et veulent le sortir pour la fin de l’année 2016, histoire d’infliger une grande claque à la série des Call of Duty.

Alors que le trailer pour Call of Duty Infinity Warfare a juste à peine pointé le bout de son nez, Battlefield 1 est là pour montrer qu’il reste maître de son genre, et qu’il sait dépoussiérer les thèmes chers aux fans de la première époque : la première guerre mondiale.

Retour aux sources, mais en mieux

Mais une claque pour quoi ? Déjà parce que le thème de la guerre futuriste, on connaît maintenant, surtout après plusieurs titres sur le sujet (Call of Duty Advanced Warfare, Black Ops 3…). On a besoin de quelque chose de différent désormais. Pas nécessairement nouveau, juste différent et ils l’ont bien compris du côté de Battlefield.

Revenir dans le passé de l’histoire des guerres, c’est prendre le pari risqué de ne surprendre personne. Le thème ayant été écumé en long et en large il y a de ça une dizaine d’année, DICE a décidé de proposer un jeu avec des graphismes bien meilleurs que ceux de la concurrence et un gameplay qui a su prendre de la maturité au fil du temps.

En somme, Battlefield 1 est le résultat de l’expérience du studio sur le genre du FPS multi-joueurs. Proposer quelque chose d’aussi jouissif si ce n’est mieux que Battlefield 3 et 4 et plonger les joueurs en plein milieu de 14-18, c’est la formule qui fait du bien au décor vidéo-ludique actuel.

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